martes, 27 de noviembre de 2012

Chanson pour Marie



Tu l’aimes d’amour, depuis près d’ toujours
Depuis presque toute ta vie
T’as toujours tout compris
T’as toujours su dire oui
T’es toujours restée près d’ lui

Tout comme un ange, comme un doux archange
Tu le protèges jour et nuit
T’es heureuse quand il rit
Tu partages ses ennuis
T’es sa femme et son amie

Mais, lui au lieu de te faire l’amour, il te fait la violence
Lui au lieu de te faire l’amour, il te fait la violence

Court, court, Marie, court
Loin de la nuit, loin du tonnerre
Loin du silence, et de l’hiver
Court, court, Marie, court
Refaire le jour refaire le ciel
Refaire la vie et le soleil

Tu pardonnes tout, tu oublies tout
Jusqu’à croire que c’est ta faute
Tu ignores le silence, tu dévores la souffrance
Tu refoules et ferme les yeux

Tu le serres tout fort, tu le prends tout fort
Lorsqu’il te dit qu’il s’en veut
Tu veux croire à ses mots
Tu veux croire qu’il est beau
Tu veux tant le rendre heureux

Mais, lui au lieu de te faire l’amour, il te fait la violence
Lui au lieu de te faire l’amour, il te fait la violence

Court, court, Marie, court
Loin de la nuit, loin du tonnerre
Loin du silence, et de l’hiver
Court, court, Marie, court
Refaire le jour, refaire le ciel
Refaire la vie et le soleil

Il rentre tard respirant la mort
Les yeux rouges et orageux
Il te cherche comme un fou, mais s’écroule à genou
Lorsqu’il trouve ton mot d’adieu

Tu es déjà loin lorsqu’il serre les poings
Et qu’il se remplit de feu
Tes larmes coulent jusqu’au sol, la douleur te rend folle
Et la rage te crève les yeux

Mais plus jamais personne ne te fera la violence
Non, plus jamais personne ne te fera la violence

Court, court, Marie, court
Loin de la nuit, loin du tonnerre
Loin du silence, et de l’hiver
Court, court, Marie, court
Refaire le jour, refaire le ciel
Refaire la vie et le soleil

Court, court, Marie, court
Loin de la nuit, loin du tonnerre
Loin du silence, et de l’hiver
Court, court, Marie, court
Refaire le jour refaire le ciel
Refaire la vie et le soleil

Cours….
Nicola Ciccone

Campagne de sensibilisation sur 

les violences à l'égard des femmes

 

25 novembre : Journée internationale 

contre les violences à l'égard des femmes

Un site où on peut trouver des informations sur cette journée en France.

Consultez le lien suivant :  

http://www.ile-de-france.gouv.fr/La-prefecture-et-vous/Particuliers/Droits-des-femmes/Journee-internationale-contre-les-violences-a-l-egard-des-femmes-du-25-novembre#2

miércoles, 21 de noviembre de 2012


CAMPAÑA CONTRA LA VIOLENCIA DE GÉNERO
NI UN MINUTO MÁS DE SILENCIO ANTE LA VIOLENCIA DE GÉNERO

El Centro Provincial del Instituto Andaluz de la Mujer y la Delegación de Educación, Cultura y Deporte han acordado llevar a cabo una respuesta conjunta contra la violencia de género, y para ello se valdrán de la canción Se acabaron las lágrimas del cantautor Huecco. Esta canción esta disponible en Youtube, e invitan a escucharla y meditar sobre su contenido.


domingo, 6 de mayo de 2012

1er Seminario CULTURA DE PAZ PARA LA EDUCACIÓN

(haz click en el programa para ampilar)


El 1er Seminario Cultura de Paz es una actividad organizada por la Delegación Provincial de Educación de Málaga y la Facultad de Ciencias de la Educación que tendrá lugar los próximos días 16 y 17 de mayo en el Salón de Actos de dicha Facultad.
La conferencia inaugural es a cargo de D. Federico Mayor Zaragoza, Presidente de laFundación Cultura de Paz y ex-Director de la UNESCO


Teatro: Los Buenos Tratos

V Muestra de Teatro Los Buenos Tratos 

Se celebra los días 7, 8 y 9 de mayo a las 12:00h en el Centro Cultural Provincial (CCP) de calle Ollerías, en Málaga capital.  Punto culminante de la campaña "Los buenos tratos".

Estreno, el lunes 7 de mayo. No te lo pierdas.

mas info aqui: http://www.revistaelobservador.com/index.php?option=com_content&task=view&id=1373
MUJERES ESTERILIZADAS EN SECRETO

Información:

El país que esteriliza a sus mujeres en secreto (BBC Mundo): http://www.bbc.co.uk/mundo/movil/noticias/2012/04/120412_esterilizaciones_forzadas_uzbekistan_adz.shtml

Médicos en Uzbekistán dicen que el gobierno los obliga a esterilizar mujeres (PRI) (en inglés): http://www.theworld.org/2012/04/doctors-in-uzbekistan-say-government-forcibly-sterilizing-women/

viernes, 9 de marzo de 2012

OPINION 5 FRANÇAIS B2-2

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ON A LES PROFESSEURS LES MÊMES ATTENTES POUR LES FILLES ET LES GARÇONS DANS LE LYCÉE EN MATIÈRE SCOLAIRE?

Traditionellement il y a eu une division entre les étudiants feminins et masculins au moment de choisir leurs études secondaires et plus tard les universitaires. Les garçons sont plus attirés par la technologie et la science, alors que les filles se sentent plus familiarisées avec les matières et carrières de lettres. On peut donc nous demander s´il existe encore des stéréotypes de genre en rapport au choix des études dans les lycées d´aujour´hui.

Actuellement face à la loi, en droits, filles et garçons sont totalement égaux: les programmes de formation et toutes les matières sont identiques, les classes deviennent mixtes et il n´y a pas de regroupement en sport, informatique, couture comme avant.
Cependant, bien que le nombre d´élèves feminins dans le baccalauréat scientique et technologique ait augmenté dans les dernières années, on peut observer que le nombre d´élèves masculins est encore plus élevé. Il semble qu´ elles considèrent les sciences et la technologie comme un domaine masculin. Tandis que tout ce qui est lié à l´humain leur semble plus intéressant ( langues, sciences humaines et sociales, administration économique et sociale…..)

On peut donc s´interroger sur le rôle de l´éducation publique. Contribue-t-elle á renforcer cette division? Au contraire, joue-t- elle un rôle décisif pour l´égalité dans le lycée? Je suis tenté de dire que les profs ont les mêmes attentes pour les élèves quelque soit leur sexe. On stimule, on exige et on encourage de la même façon sans distinction de sexe. En plus, l´enseignement public a réalisé un effort considérable pour refuser des stéréotypes sexistes en incorporant des programmes de coéducation afin de promouvoir l´égalité dans tous les aspects éducatifs et accorder/ agréer les mêmes opportunités tant aux filles qu´aux garçons.
Peut-être les professeurs peuvent influencer leurs étudiants d´une manière inconsciente en leur donnant des modèles qui affectent leurs préférences professionelles et d´études, car il y a plus de professeurs masculins liés au domaine scientifique.

Cependant, d´un point de vue psychosociale, l´influence la plus forte sur le développement du rôle de genre semble se produire dans le sein de la famille et dans la société á cause des medias/, des parents passant manifestement et secrètement à leurs enfants leurs propes croyances, valeurs et comportements qu´ils imitent. C´est pour cela que le traitement et la manière differente d´élever leurs enfants par les parents sont deux facteurs fondamentaux qui jouent un rôle décisif dans l´orientation scolaire et le choix des études de leurs enfants dans l´avenir. Quand ils arrivent au lycée leur mentalité est déjà presque faite et modelée.

On peut conclure qu´il faut rechercher une mixité qui soit une véritable coéducation qui signifie devenir conscients de l´égalité des sexes dans tous les aspects de la vie, combattre des attidudes sexistes et travailler ensemble avec les parents en refusant des stéréotypes traditionels sur le rôle des filles et des garçons .


FRANCISCO CASTRO- FRANÇAIS B2-2

OPINION 4 FRANÇAIS B2-2

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LA COÉDUCATION DÈS L’ENFANCE


L’enfant à sa naissance, est un être indifférent, sans identité personnelle, mais grâce à son environnement, il obtiendra son identité.
Tout d’abord les parents sont les premiers acteurs de la coéducation, devant supprimer toute différence dans l’éducation des enfants, évitant une éducation sexuée afin que celle-ci ne mette pas les garçons et les filles dans des rôles distincts.
Mais malheureusement on leur apprend encore des modèles de comportement liés à leur sexe : en ce qui concerne les récriminations (« les garçons ne pleurent pas. »), les jouets (« les garçons ne jouent pas à la poupée, c’est pour les filles »), pour beaucoup il est mal vu que le garçon développe la tendresse pensant que, avec ces jeux, le garçon puisse perdre sa propre masculinité.
Les parents agissent d’une façon différente selon si il s’agit d’une fille ou d’un garçon. Cela se manifeste simplement dans les jouets : pour le sexe féminin, nous achetons les jouets genre tâche domestique, dînettes, poupées, tandis que les jeux de constructions, les voitures visent les garçons, bref les stéréotypes sont quasi toujours présents.
Comme on peut voir, dès leur plus jeune âge, tout se joue et les enfants sont conditionnés dans leur rôle.
Les jouets, dont le rôle est primordial, est souvent attaché dans une sexualisation traditionnelle qui est, de nos jours non adapté à la société.
Beaucoup de parents, même si leurs garçons leur demandent une poupée, sont très sceptiques et ne voient pas d’un bon œil leur en acheter une, comme si leur virilité était en jeu (virilité pour beaucoup est synonyme de jouets de vitesse, de dureté…) , comme si « jouer à la poupée » voulait dire obligatoirement le désir d’être une fille. Donc les parents s’inquiètent, se posent des questions (dans certains cas, veulent même l’emmener chez le psychologue ou se demandent où ils ont commis une erreur).
Mais, en revanche, quand il s’agit du contraire, une fille qui veut des voitures ou jouer au football, il n’y a aucun problème de ce côté-là.
En outre, on a beau parler d’égalité mais certains sont encore très attachés à leurs idées, ce qui est assez ironique puisque nous sommes à une époque où les pères sont de plus en plus impliqués dans l’éducation des enfants, par contre voir un petit garçon vouloir un poupon et une poussette, vouloir lui changer les couches nous choque énormément.
Et le plus malheureux c’est le sentiment de frustration que les parents peuvent générer chez l’enfant en lui faisant des remarques du genre « c’est pour les filles » car inconsciemment (ou consciemment) nous créons un fossé entre les deux sexes, quand réellement il est important de laisser les garçons manifester leur créativité et leur sensibilité.
De plus, empêcher ou même interdire à un garçon de jouer à la poupée peut le mener à un questionnement, voire un trouble « est-il nécessaire que je sois une fille pour avoir le droit de jouer avec une poupée ».
À la maternelle, les enfants construisent aussi leur identité en tant que filles et garçons et c’est aussi un bon moment pour leur faire comprendre le message crucial, que les deux sexes ont la même valeur dans la société.
En maternelle, les coins cuisines et repassages, voire même les coins poupées sont fréquentés par les garçons mais avec, souvent, une certaine honte et pudeur d’être vu par les copains car ceux-ci ont déjà stéréotyper les jeux (en effet, influencés par leur famille).
Mais les enseignants instaurent justement un système de tournante des différents espaces de jeux (un tableau est conçu pour inscrire les enfants et les espaces de jeux auxquels il a joué pendant la première semaine ; ainsi la deuxième semaine il doit jouer dans les espaces dans lesquels il n’a pas encore été).
De plus, les enseignants, d’une façon subtile, appellent les zones « voitures », zones « transports » et les zones « poupées et appareils domestiques » les zones « hôpitaux » afin que les enfants qui ont déjà stéréotypés les jouets ne se sentent pas trop intimidés.
D’autre part, les enseignants conditionnent des zones « nursery » mixtes : pendant une semaine filles et garçons doivent s’occuper d’un poupon comme d’un vrai bébé (dispenser tous les soins nécessaires, les dorloter, les soigner, ce qui permet de responsabiliser les plus petits et aussi une façon de faire évoluer les mentalités).
Il n’empêche que, malheureusement encore, un garçon peut être «  tacher » de « pédé » d’une façon péjorative et grotesque juste parce qu’il joue avec les filles et passe beaucoup de temps justement dans les zones « hôpitaux ». Quand réellement il est tellement important que les enfants se développent librement en découvrant d’autres activités et qu’ils puissent réaliser leur potentiel individuel.

En conclusion, il est essentiel de construire, dès l’enfance, une égalité des sexes, car réellement la parité commence dès le berceau, en offrant les mêmes possibilités de jeux aux garçons et aux filles, leur donnant un vrai choix de jouets égalitaires afin de leur montrer la diversité de la vie, leur donnant la possibilité de vivre les mêmes choses..
Il est vrai que les écoles dès le plus jeune âge instaure cette coéducation, mais il est nécessaire que celle-ci soit faite aussi dans le noyau familiale (car celui-ci est vraiment le stimulateur d’apprentissage dès le plus jeune âge), c’est pour cette raison que l’intervention éducative doit être aussi orientée non seulement aux élèves, mais aussi à son entourage le plus proche, c'est-à-dire la famille, sa collaboration et implication sont nécessaires.
Les parents ne doivent pas véhiculer des stéréotypes sexistes dans les jouets (la cuisinette et l’aspirateur pour les filles, les voitures et parking pour les garçons) car il s’agit d’une croyance qui, le plus souvent, a une certaine prédisposition à enfermer chaque sexe dans des schémas restreints souvent négatifs, et maintes fois, inconsciemment, ils reproduisent le modèle socioculturel des générations précédentes. Il est nécessaire de comprendre que nous sommes dans d’autres temps, donc d’autres mœurs.



Isabelle Fernández- FRANÇAS B2-2

OPINION 3 FRANÇAIS B2-2

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LA COÉDUCATION ET L’ÉDUCATION PHYSIQUE
Malgré les avantages que l’éducation physique a dans l’enseignement, il faut faire beaucoup d’attention aux prejugés sexistes. Moi, commme professeur de l’éducation physique de l’école secondaire, je vais parler de mon expérience aux lycées et de l’enseignement de garçons et filles.
D’abord, la première chose qu’il faut faire afin de lutter contre les prejugés sexistes et contre l’inégalité est ne pas parler des différences de genre humain. Dès l’école, on doit considérer comme quelque chose normale que les parents cuisinent, qu’ils font le ménage, soit le père ou la mère.
Nous, les professeurs, au moins, les professeurs avec lequels j’ai travaillé, ne parlons jamais de leurs résultats en faisant la comparaison entre les garçons et les filles. Il y aura certaines fois où les filles auront meilleurs résultats que les garçons et il y en aura d’autres oú les garçons auront meilleurs résultats que les filles.

À l’Éducation Physique, ça arrive beaucoup de fois. Quand j’ai commencé à travailler aux lycées et je demandais quelque chose à faire, mes élèves me demandaient: “Et les filles?” si l’activité était considerée masculine ou, pour contre, ils demandaient: “Et les garçons?” si l’activité était considerée féminine. Je disait que tout le monde devais faire la même chose parce que l’Éducation Physique est la même pour tous les élèves.
C’est vrai qu’en Éducation Physique il y a des contenus que les filles préfèrent et il y en a d’autres que les garçons préfèrent. “C’est vrai, c’est normal et je suis d’accord”, je leur dit. Et je continue: “Mais il y a des contenus que vous n’avez jamais travaillés et vous ne savez pas si vous les aimez ou pas. Et ça, c’est l’objectif de l’Éducation Physique: connaître beacoup d’activités et de modalités sportives afin de pouvoir choisir ceux que vous préférez”. Finalement, ils l’acceptent, je ne sais pas s’ils le comprennent ou pas mais les élèves qui connaissent ma manière de travailler, ils ne me demandent pas déjà pourquoi une chose ou une autre.
Bref, il considèrent que je traite tous les élèves de la même manière et c’est le plus juste. Filles et garçon travaillent déjà les mèmes contenus et ils le voient comme quelque chose normale.

Angel Cosano. Français B2-2

OPINION 2 FRANÇAIS B2-2

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LA COÉDUCATION! QU’EST-CE QUE CELA SIGNIFIE?

Premièrement, il faudrait analyser le terme plus ancien oú la coéducation veut dire “l’éducation en común des garçons et des filles, dans des groupes mixtes”.

Cependant, cette conception exclue le traitement identique et implique une collaboration que permette à chaque sexe d’exercer librement sur l’autre une influence bienfaisant.

Deuxièmement, c’est la coéducation “glabale” cette que préfère l’expérience collective par le groupe pour arriver au même résultat.

C’est le dynamisme du groupe ce qui permet à Chacón de faire l’apprentissage de la société et la redécouverte des savoirs en fonction des projets qui émergent de ce groupe.

Finalement, il faudrait rémarquer que la coéducation valorise la spontaneité, la créativité, l’autonomie et l’individualisme.

En conclusión, la coéducation rejette l’autorité et les normes, puisque l’important n’est pas réussir mais se réaliser. Cependant il faudrait analyser aussi que même si la coéducation a influencié la pédagogie en Espagne, le développement du sindrome de “l’enfant-roi”, faisant des adultes égocentriques et paresseux est un sujet à analyser dans la société d’aujourd’hui.


Maribel Giráldez.
Français B2-2

OPINION 1 FRANÇAIS B2-2

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La co–éducation: Est-elle réelle ou imaginaire ?

Pour commencer à parler sur la co-éducation, il est nécessaire d’éclaircir la terminologie. La co-éducation n’est pas la même chose que l’école mixte, malgré que, généralement, elles ont été confondues. L’école mixte parle d’une école où garçons et filles sont ensemble dans une même salle de classe, mais avec un curriculum encore clairement machiste, sans réviser.

Par contre, la co-éducation parle de égalité, et c’est pourquoi que redéfinit ce curriculum, l’adapte aux nouveaux temps et le considère égal pour des garçons et des filles, un même curriculum, les mêmes espaces, les mêmes professeurs et les mêmes matériels pour tous et toutes, sans différences.

Notre Constitution, dans l’article numéro 27, reconnaît le droit de tous les citoyens et citoyennes d’Espagne à la éducation. En plus, l’article 14 dit que tous sommes égaux devant la loi, sans qu’ait discrimination à cause de la naissance, la race, le sexe, la religion, l’opinion et des autres circonstances.

La loi générale d’éducation de 1970 était la première en essayer une éducation mixte, après tous les années de séparation sexiste dans la dictature. Cependant, n’était pas jusqu'à la Logse (en 1990) que la co-éducation devenait le principale modèle de pensée de notre système éducatif.
Ainsi donc, la partie théorique est obtenue. Mais, avons nous réussi dans la partie pratique ?

En ce qui me concerne, comme professeur, je crois que pour nous, dans l’école, tous nos élèves sont égaux, n’importe qu’ils soient garçons ou filles. Nous leur enseignons de la même manière, nous leur parlons de la même manière et nous ne faisons pas de différences entre eux. Par contre, tandis que dans l’école il y a une égalité réelle, qu’est-ce qui se passe dans les entreprises, dans la politique, et dans tous les travaux de haut niveau, chefs et directeurs ?

Malheureusement, la réalité est que les travaux de haute importance sont encore occupés par des hommes, spécialement dans les entreprises privées. De plus, quelques fois, les salaires ne sont pas égaux non plus, et nous ne devons pas le permettre.
Néanmoins je considère important reconnaître qu’il y a de plus en plus femmes dans la politique et dans les postes directifs des entreprises, mais il n’y a pas beaucoup de femmes comme chefs d’entreprises ou comme présidentes des gouvernements (avec la exception de Angela Merkel ou Cristina Fernández de Kirchner).

C’est évident qu’il s’agit d’un sujet très actuel et très polémique mais, compte tenu les efforts réalisés pour arriver à une co-éducation, la démonstration de l’égalité de la capacité des hommes et des femmes pour réaliser les mêmes travaux d’importance et les temps que nous vivons, je pense que serait juste réfléchir sur ce discrimination et, même, faire des lois qui contrôlent la quantité de femmes et d’hommes dans ces travaux, parce que c’est la loi qui dit que tous nous sommes égaux.

Lara Llamas Briongos
Français – 2º B2

OPINION B2-2 FRANÇAIS

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LA COÉDUCATION
La coéducation est l´instruction et l´éducation en commun des garçons et des filles dans des groupes mixtes, mais cette conception exclue le traitement identique et implique une collaboration qui permette à chaque sexe d´exercer librement sur l´autre une influence salutaire.
La coéducation valorise la spontanéité, la créativité, l´autonomie, l´individualisme. Elle ne valorise pas non plus outre mesure la performance et donc le principe de classement et de notation puisque l´important n´est pas de réussir mais de se réaliser.
Sur le papier toutes ces idées sont formidables, mais ce qui nous intéresse c´est savoir si la réalité s´y conforme.
À mon avis, il y a eu un grand changement depuis quelques années dans notre pays. Je suis élevée dans une école religieux où on n´étudiaient que des filles. On a appris certaines valeurs, et on a aussi touché quelques champs qui auparavant n´appartenaient qu´aux filles, je fais référence aux labeurs domestiques.
Aujourd´hui tout cela a énormément changé ; les garçons cousent et les filles apprennent des métiers comme celle-ci de plombier ou de charpentier, je trouve tout cela très pratique, il est bien de savoir se débrouiller tout seul dans la vie, il ne faut pas se marier pour qu´une femme couse quelqu´un l´ourlet, ou un homme répare un robinet.
À mon école de langue, dont je fais partie en tant qu´élève, comme dans mon travail, je remarque qu´il y a une véritable égalité, et on donne la chance tant les hommes que les femmes, je constate que les professeurs ils ne font pas de distinction entre les deux sexes, et la direction à mon travail est pareille, ce qu´on ne pouvait dire il y a quelques années, il y avait un chef qui était misogyne, qui faisait le travail aux femmes presque insupportable. Heureusement, grâce à une femme courageuse il a été licencié.
Pitoyablement, la coéducation n´est pas une réalité dans tout le monde où on peut toujours trouver de la discrimination et le mépris envers les femmes.
Pour celles-ci qui souffrent d´une manière exceptionnelle je voudrais leur dédier cette chanson de Pierrot : « LA FEMME GRILLAGÉE »

Nieves Iraundegui- FRANÇAIS B2-2

martes, 6 de marzo de 2012

Journée internationale de la femme
apprenez l'histoire de cette journee avec ce petit quizz... cliquez ici

Madres, burkas y marujas por A. Pérez Reverte
 
http://www.perezreverte.com/articulo/patentes-corso/643/madres-burkas-y-marujas/
EXPOSICION "MUJERES CON LUZ PROPIA"
Os informamos de que el próximo día 7 de marzo, a las 12:00h el Instituto Andaluz de la Mujer, inaugura  la Exposición “Mujeres con Luz Propia” con motivo del Día Internacional de la Mujer. 8 de marzo de 2012. Lugar: Sede de la E.P Gestión del Turismo y del Deporte de Andalucía, S.A (C/Compañía, 40 Málaga) Del 7 al 17 de Marzo.

sábado, 18 de febrero de 2012

UNICEF: Girls around the world talk about their lives and their rights


Natalia Gil, student of the 5th year of English B2-2 wrote: 

I happened to view this video from Unicef and I thought that maybe it would be interesting for the "Coeducation blog".  It is not about violence gender but more about "equality gender" and the way women and girls see themselves nowadays.

This video was done by UNICEF who travelled around the world asking women and girls a question: "What's it like to be a woman or girl today?".  The good thing is (in my opinion) is that you have very different answers, depending on the country, background of the people answering etc....It is quite a short video (only 3 minutes) but it gives you several points of view !

Here is the link:




viernes, 3 de febrero de 2012

Cartel ganador

Cartel ganador del concurso de carteles contra la violencia de género de la EOI Fuengirola.
"¿En qué idioma hay que decirlo?"
Autoras: Paula Laserna y Pilar Oreja (4º Francés)

domingo, 8 de enero de 2012